Revue de presse
Les festivals d'été 2024
Articles complets dans la revue de presse de l'été ici...
Rêves et créations au Festival Messiaen
" Si le 0 Sacrum convivium de Messiaen, chanté en tribune, reste empreint d'une forte puissance émotionnelle, la pièce commandée à Anthony Mondon - Rien après, rien avant - ne laisse pas l'oreille inattentive : sur des poèmes de Victor Hugo, la large tessiture des voix se joue d'une profusion de dissonances devenues norme, entre murmures et bavardages encadrant de leur immobilité tonale une fascinante section que Poulenc n'aurait pas désapprouvée. "
" Émotions au rendez-vous aussi dans la pièce pour quatuor à cordes du jeune New-Yorkais Max Eidinov, Dans la sonorité scintillante, créée ici par le Quatuor Béla : son titre explicite n'exclut pas une hésitation entre extase stellaire et inquiétude trouble, dans un esprit qui n'est pas sans rappeler celui de Requiem for a dream dans l'interprétation du Kronos Quartet. "
Extrait, Les affiches de Grenoble et du Dauphiné 2 août 2024, Gilles Mathivet.
Créations mondiales au festival Messiaen
" Le chœur Spirito et le Quatuor Béla partagent le même engagement en faveur de la musique d’aujourd’hui et des jeunes artistes. (...) Dans l’église de Saint-Chaffrey, une des artistes déclame en prologue du concert une amusante présentation versifiée et élogieuse du chœur Spirito, dont l’excellence ne sera pas démentie ... "
" Le compositeur libanais Nadim Tarabay propose avec Maskoun/Majnoun, œuvre pour chœur et quatuor à cordes, dirigée par Nicolas Pérez Marchal, une troublante alternative : être habité/être emprisonné. Mais, dit-il, « chacun doit se faire sa propre interprétation ». Microtonalité, glissandi subtils des voix et des cordes, frictions harmoniques, chuchotements… l’œuvre envoûte sans que l’on parvienne à trancher, ponctuée par un « hahhh », comme une ultime expiration… "
Extrait, Classica magazine 7 août 2024, Jany Campello
Double programme Bach-Monteverdi au Festival Musique et Nature en Bauges
" Pour cette édition, Nicole Corti et son ensemble Spirito ont proposé un diptyque Bach-Monteverdi dans l'église Saint-Maurice de Bellecombe-en-Bauges. (...) Une interprétation pleine d'entrain avec des soprani qui dominent, des forte et des piani qui alternent clairement et un Alleluia superbement festif clôturent ce beau concert d'une 26e édition emmenée par son président-fondateur Anthime Leroy. "
Extrait, Resmusica 7 août 2024, la critique de Jean- Noël Démard
Une Via Crucis sublimée par Spirito et Roger Muraro
"L'église Saint-André était le lieu idéal pour Nicole Corti et le chœur Spirito qui se sont produits dans une œuvre religieuse majeure, la Via Crucis de Franz Liszt. Avec un style épuré qui épouse parfaitement cette œuvre, la cheffe de chœur et Spirito ont su rendre magnifiquement la force et l'extase de ce poignant chemin de croix du Christ vers le tombeau. Au-delà̀ de cette force portée par les voix, le choix d'utiliser comme instrument le piano plutôt que l'orgue s'est révélé une idée extraordinaire, sublimant l'ensemble. II est vrai qu'au piano Roger Muraro, qui a aussi excellé dans les Années de pèlerinage a fait preuve d'une recherche des harmonies et des couleurs, d'une virtuosité et d'un art des nuances peu communes dans cette œuvre exceptionnelle qui a reçu un triomphe."
Extrait, Le Dauphiné Libéré 25 août 2024, la critique de Georges Aubry
Concert en Famille au Festival de La Chaise-Dieu
" Imaginée par Nicole Corti et Thibaut Louppe, Zoophonia, mise en scène par Antonnella Amirante, est jouée, chantée, dansée par quatre performeuses aussi agiles que bonnes musiciennes, Carole Boulanger, Magali Perol-Dumora, Isabelle Deproit et Caroline Geste, membres du chœur Spirito. (...) En alternance avec les cinq chansons à trois voix de Poulenc, des comptines beaucoup plus connues (Trois petits chats, Promenons-nous dans le bois, Dans la forêt lointaine…), chantées en canon parfois, donnent lieu à des déguisements et autres pantomimes assumées avec grâce et vivacité par les interprètes. "
Extrait, Resmusica 29 août 2024, la critique de Michèle Tosi
Yes it is au Festival Berlioz
" Les arrangements, dus à cinq musiciens différents, sont particulièrement travaillés – et techniquement exigeants. Bien au‑delà d’une simple adaptation à quatre voix, les arrangeurs se sont montrés créatifs et les surprises abondent : effets instrumentaux (au besoin avec l’aide d’un micro), verres de cristal diffusant des sonorités éthérées, harmonisations élaborées, choral à la façon de Bach pour introduire et conclure The Long and Winding Road. "
" Spirito, emmené bien sûr par Nicole Corti, frappe par la qualité des textures vocales et le soin apporté aux nuances..."
Extrait, Concertonet - The Classical Music Network, 07 septembre 2024, la critique de Simon Corley
Presse générale
« Sous le geste habité de Nicole Corti galvanisant ses interprètes, un vent de ferveur souffle sur la partition en création. »
ResMusica à propos de Cori, féminins plurielles, 7 avril 2019
« Le chœur Spirito, préparé avec soin par Nicole Corti, sert avec bonheur le bouillant Hector. »
Classica à propos de Roméo et Juliette de Berlioz, avril 2019
« Le tout est confié sur scène au magnifique chœur Spirito de Nicole Corti. »
La Terrasse à propos d’Un Requiem imaginaire, 25 mars 2019
« …Elégance, finesse, transparence, qui sont aussi [les qualités de] l'excellent chœur Spirito. »
Le Figaro à propos de Roméo et Juliette de Berlioz, 19 mars 2019
« Le Chœur Spirito, dirigé par Nicole Corti, basé à Lyon et composé de professionnels, se trouve ici complété du Jeune Chœur Symphonique, pour livrer une prestation passionnée. L’expression de la haine puis de la réconciliation apparaît extrême : l’aigu clair et précis des soprani et la vibration des contralti répondent sans réserve aux élévations des ténors et au chant plus plein des basses. »
Olyrix.com à propos de Roméo et Juliette de Berlioz, 15 mars 2019
« Le genre d’événement qu’on voudrait s’éterniser et nous accompagner bien au-delà des sièges du théâtre. »
Le Dauphine-Libéré à propos de Valsez maintenant !, 7 février 2019
« Une œuvre superbement chantée par les seize choristes et jouée à quatre mains, par deux pianistes virtuoses. Guillaume Coppola, magistral dans son interprétation de trois des plus célèbres valses de Chopin. Thomas Enhco, inventif et éblouissant, dans une improvisation aux couleurs de jazz. »
Le Dauphine-Libéré à propos de Valsez maintenant !, 29 novembre 2018
« La directrice musicale de l’ensemble Spirito incarne la choralité à la française, mélange de couleurs et d’excellence. »
Le Figaro 18 août 2018
« Nicole Corti a forgé avec Spirito une identité sonore ample, fervente, généreuse. »
La Montagne 24 août 2018
« Très bien préparées par Nicole Corti, les voix de Spirito ont bluffé le public par la clarté, l’homogénéité et la capacité à forger des sons pianissimi (...) Le final en douceur se prolonge sur un long silence recueilli, que brisent les acclamations d’une ovation debout. Un concert historique.»
Le Progrès à propos du Requiem de Berlioz, 23 août 2018
« Un Requiem électrisant de jeunesse au Festival Berlioz. »
La Revue du Spectacle.fr à propos du Requiem de Berlioz, 23 août 2018
« L’aventure du projet Revenants fait entendre la voix dans un lieu où le silence est puissant. »
France Musique 10 août 2018
« Les masses chorales conjuguées de l'ensemble Spirito, du Jeune Chœur symphonique et du Chœur d'oratorio de Lyon (tous trois dirigés par Nicole Corti), imposent leur enthousiasme, leur précision et leur exultation. »
www.classiquenews.com, 3 juillet 2018
« N’attendez pas trop pour découvrir le documentaire Revenants, réalisé par Julien Sallé (...). On y découvre le travail musical (au travers d’ateliers d’écriture et de chant choral) effectué par des détenus de la Maison centrale de Clairvaux, avec Anne-Marie Sallé, directrice du festival Ombres et lumières, la cheffe de chœur Nicole Corti et le compositeur Philippe Hersant. S’y posent, en filigrane, les questions de la réinsertion et du dépassement de soi. »
Télérama 23 avril 2018
« À la tête de l’ensemble Spirito, la musicienne explore la voix dans toutes ses dimensions. Au service des œuvres, elle travaille à associer l’auditeur à la merveilleuse «cuisine» chorale. »
La Croix 9 février 2018
« Délicatesse et spirituaité infusent l’interprétation de ces joyaux dont Nicole Corti soutient la clarté polyphonique et l’articulation, attentive avant tout à mettre en valeur l’expressivité liée au texte sacré. Le résultat est touchant de simplicité, admirable de fraîcheur, à l’aune des instrumentistes réunis pour la circonstance par le violoniste Giovanni Radivo.»
Le Monde à propos de Bach/Allegri, 20 septembre 2019
« L’interprétation de ces pages ne souffre aucune réserve. Articulations soignées, clarté des plans sonores, élégance des enchaînements, elle cajole ces voix juvéniles, enrichies de quelques membres de Spirito et la voix de la soprano Magali Dumora pour les passages les plus difficiles, et les musiciens réunis par le violoniste Giovanni Radivo. L’ensemble tourne le dos au clinquant, à l’effet de manche, pour restituer la spiritualité des partitions. Il se dégage un sentiment de délicatesse et de plénitude (...) »
Le Progrès à propos de Bach/Allegri, 15 septembre 2019
« Le chœur, fruit de l’association de trois formations (d’une part le chœur de chambre Spirito, d’autre part le Jeune Chœur symphonique, tous deux dirigés par Nicole Corti, puis le Chœur régional d’Auvergne), a été irréprochable, les trois formations ayant fait preuve d’une belle synergie et d’un grand engagement. »
classicagenda.fr à propos de la 9ème symphonie de Beethoven, 3 septembre 2019
« Nicole Corti est toujours précieuse dans une programmation, alliant l’excellence, l’originalité et la pertinence. Tout un cheminement dans la musique sacrée, qui fait saisir l’importance du verbe comme la puissance notes et, bien sûr, leur sublime association. Ce programme a offert dans un même souffle des instants de totale réjouissance et, d’autres, d’intense recueillement. Le tout en utilisant l’ultime instrument - l’abbatiale Saint-Robert - avec une spatialisation des voix. Toujours un succès. »
La Montagne à propos de Bach/Allegri, 31 aout 2019
« Une écriture instrumentale et chorale relativement discrète, mais brillante et variée. L'œuvre est une réussite ! »
Télérama à propos de Euphonia 2344 de Levinas, 29 aout 2019
« Les 12 voix du Chœur Spirito interviennent avec élan (...) Succès des interprètes et du compositeur auprès d’un public conquis. »
Télérama à propos de Euphonia 2344 de Levinas, 28 aout 2019
« Les choristes savent déployer les crescendi en volume et intensité de l'Ode à la joie, tout en soutenant le placement des solistes. »
olyrix.fr à propos de la 9ème symphonie de Beethoven, 28 aout 2019
« Le chœur lyonnais Spirito, sous la direction aux gestes minimalistes mais extrêmement précis de Nicole Corti (...) osent des pianissimi d’une douceur infinie tout en sachant garder une clarté lumineuse du timbre en toutes circonstances. »
Télérama à propos de Berlioz et ses amis, 20 aout 2019
« Une clôture en apothéose (du festival Baroque de Tarentaise) réunissant 25 enfants issus de deux maîtrises, un chœur d’hommes professionnel et dix talentueux musiciens de la scène baroque actuelle, tous placés sous la direction inspirée de Nicole Corti. »
La Vie nouvelle à propos de Bach/Allegri, 16 aout 2019
«Le chœur Spirito a magnifié la musique sacrée du compositeur autrichien Anton Bruckner»
Le Berry républicain à propos des Maîtres du grand chœur, 2 juillet 2019
« Les musiciens de l’ARFI (...) conjugués aux choristes du chœur professionnel Spirito (dirigé par Nicole Corti) sont, comme souvent, en phase absolue avec ce projet déjanté. Leurs qualités vocales et instrumentales sont absolues. »
Médiapart à propos des Plutériens, 14 juin 2019
« Une expérience d’un autre type : rétro-futuriste et envoûtante. »
Lyon Capitale, à propos des Plutériens, juin 2019
« Un vrai trip sidéral. »
La Terrasse à propos des Plutériens, 28 mai 2019
« Sur le front des créations mondiales, je citerai Paradiso d’Edith Canat de Chizy, avec l’excellent chœur Spirito.»
La Tribune de Genève Marc Texier, directeur du festival Archipel-Genève à propos de Cori, féminins plurielles, 8 avril 2019